Police VIOLENCE, mort après 1 interpellation †
- il y a 16 ans
Ecoutez comment ils détournent la cause du meurtre : ils essayent de le mettre sur le compte d'un problème psychologique !!! Bah voyons... pfff !!!
ASPHYXIE = MEURTRE !!! (il n'y a pas à épiloguer)
Pourquoi on ne voit-on pas à la TV le témoin capital, Ludovic Gérard ?...
Tous des chiens qui protègent les chiens ?!?
Abdelakim Ajiimi, 22 ans, est mort vendredi durant son transfert au commissariat de Grasse. L'autopsie révèle "des signes asphyxiques", mais n'a pas constaté de coups mortels.
Ludovic Gérard, maître-chien, témoin, au Parisien :
"Le jeune était déjà menotté, la face contre le sol. Un des policiers, en civil, lui avait déjà empoigné un bras et lui tournait le coude pour l'immobiliser. Il était déjà violet.
J'ai entendu le jeune qui gémissait "J'étouffe! J'étouffe!"
J'ai crié "Arrêtez-vous, vous voyez bien qu'il n'a plus d'oxygène!"
Un policier m'a répondu "Mêlez-vous de ce qui vous regarde."
Un autre policier m'a dit "Vous ne savez pas ce qu'il a fait" et m'a menacé de m'emmener au commissariat si je ne me taisais pas (...) J'ai voulu filmer avec mon portable. Mais, le temps que je libère un peu d'espace pour la vidéo, ils ont voulu me le faire confisquer par les municipaux."
Ludovic a assisté, selon ses propres termes, à un "tabassage en règle".
Que dit l'avocat de son père ?
"Nous ne contestons pas l'interpellation, mais la méthode employée, disproportionnée par rapport à l'objectif poursuivi" déclare au Post Maître Sylvain Pont.
Pour l'avocat de la famille d'Ajiimi, "les signes asphyxiques témoigne bien d'une mort non naturelle et donc, selon nous, d'une faute d'au moins un des policiers lors de l'interpellation".
ASPHYXIE = MEURTRE !!! (il n'y a pas à épiloguer)
Pourquoi on ne voit-on pas à la TV le témoin capital, Ludovic Gérard ?...
Tous des chiens qui protègent les chiens ?!?
Abdelakim Ajiimi, 22 ans, est mort vendredi durant son transfert au commissariat de Grasse. L'autopsie révèle "des signes asphyxiques", mais n'a pas constaté de coups mortels.
Ludovic Gérard, maître-chien, témoin, au Parisien :
"Le jeune était déjà menotté, la face contre le sol. Un des policiers, en civil, lui avait déjà empoigné un bras et lui tournait le coude pour l'immobiliser. Il était déjà violet.
J'ai entendu le jeune qui gémissait "J'étouffe! J'étouffe!"
J'ai crié "Arrêtez-vous, vous voyez bien qu'il n'a plus d'oxygène!"
Un policier m'a répondu "Mêlez-vous de ce qui vous regarde."
Un autre policier m'a dit "Vous ne savez pas ce qu'il a fait" et m'a menacé de m'emmener au commissariat si je ne me taisais pas (...) J'ai voulu filmer avec mon portable. Mais, le temps que je libère un peu d'espace pour la vidéo, ils ont voulu me le faire confisquer par les municipaux."
Ludovic a assisté, selon ses propres termes, à un "tabassage en règle".
Que dit l'avocat de son père ?
"Nous ne contestons pas l'interpellation, mais la méthode employée, disproportionnée par rapport à l'objectif poursuivi" déclare au Post Maître Sylvain Pont.
Pour l'avocat de la famille d'Ajiimi, "les signes asphyxiques témoigne bien d'une mort non naturelle et donc, selon nous, d'une faute d'au moins un des policiers lors de l'interpellation".