Plusieurs salariés de l’entreprise New Fusion à Malines en Belgique ont accepté de se faire implanter une puce électronique dans la main.
Cet implant de la taille d’un grain de riz permet entre autres d’ouvrir des portes, de démarrer une session d’ordinateur et d’accéder à tous ses rendez-vous de la journée. Si cette initiative peut surprendre, elle est déjà d’actualité depuis 2 ans dans une entreprise suédoise où les employés peuvent également contrôler la photocopieuse avec leur main. Vincent Nys, le directeur de la société New Fusion explique :
"Tous les deux ou trois jours, les salariés perdaient leur badge. C’est ce qui nous a fait réfléchir pour trouver une solution, et on a abouti à cette idée."
Cette puce qui coûte 100€ pièce contient également le nom, prénom et numéro de téléphone du salarié. Un employé qui ne voit pas le souci de se faire implanter une puce explique :
"On imagine à l’avenir que les services de secours seraient équipés de scanners pouvant détecter la puce RFID. En cas d’accident, les secouristes auraient directement accès à vos données."
La ligue des Droits de l’Homme ne voit cependant pas la chose du même œil est précise que ce « flicage » va permettre par exemple de savoir à quelle heure l’employé commence son service, à quelle heure il prend sa pause cigarette, à quels moments il est sorti de son bureau…
Cet implant de la taille d’un grain de riz permet entre autres d’ouvrir des portes, de démarrer une session d’ordinateur et d’accéder à tous ses rendez-vous de la journée. Si cette initiative peut surprendre, elle est déjà d’actualité depuis 2 ans dans une entreprise suédoise où les employés peuvent également contrôler la photocopieuse avec leur main. Vincent Nys, le directeur de la société New Fusion explique :
"Tous les deux ou trois jours, les salariés perdaient leur badge. C’est ce qui nous a fait réfléchir pour trouver une solution, et on a abouti à cette idée."
Cette puce qui coûte 100€ pièce contient également le nom, prénom et numéro de téléphone du salarié. Un employé qui ne voit pas le souci de se faire implanter une puce explique :
"On imagine à l’avenir que les services de secours seraient équipés de scanners pouvant détecter la puce RFID. En cas d’accident, les secouristes auraient directement accès à vos données."
La ligue des Droits de l’Homme ne voit cependant pas la chose du même œil est précise que ce « flicage » va permettre par exemple de savoir à quelle heure l’employé commence son service, à quelle heure il prend sa pause cigarette, à quels moments il est sorti de son bureau…
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