La contestation ne faiblit pas en Roumanie.
Environ 200 000 à 250 000 personnes se sont réunies dans plusieurs villes du pays ce vendredi soir, dont la moitié à Bucarest.
Une mobilisation, sans précédent depuis la chute du communisme il y 27 ans.
Roumanie • Retour au bon vieux temps des révolutions ? https://t.co/H5Pn9BvtUl pic.twitter.com/6nIKN1Kwoi— Courrier inter (@courrierinter) 3 février 2017
Les manifestants tentent de faire pression sur le gouvernement pour qu’il retire son décret controversé assouplissant la législation anticorruption.
Le texte prévoit notamment de réduire les peines d’emprisonnement en cas d’abus de pouvoir.
Mais le Parti Social-Démocrate qui dirige le pays reste inflexible, alors que de nombreux élus du PSD sont soupçonnés de malversations par le parquet anticorruption (DNA).
Le Conseil supérieur de la magistrature, le Défenseur des droits et le président roumain vont contester le décret devant la Cour constitutionnelle.
Ils ont jusqu‘à mardi pour faire valoir leurs arguments devant la plus haute instance du pays.
Klaus Iohannis n’hésitait pas à parler de “deuil pour la primauté du droit” dès mardi soir, lors de la présentation du décret.
Dragi români,
Astăzi este o zi de doliu pentru statul de drept. Statul de drept, care a primit o lovitură... https://t.co/0tblmCNzij— Klaus Iohannis (@KlausIohannis) 31 janvier 2017
En attendant, les manifestants ont prévu de marcher en direction du parlement, ce samedi.
Avec agences.
Environ 200 000 à 250 000 personnes se sont réunies dans plusieurs villes du pays ce vendredi soir, dont la moitié à Bucarest.
Une mobilisation, sans précédent depuis la chute du communisme il y 27 ans.
Roumanie • Retour au bon vieux temps des révolutions ? https://t.co/H5Pn9BvtUl pic.twitter.com/6nIKN1Kwoi— Courrier inter (@courrierinter) 3 février 2017
Les manifestants tentent de faire pression sur le gouvernement pour qu’il retire son décret controversé assouplissant la législation anticorruption.
Le texte prévoit notamment de réduire les peines d’emprisonnement en cas d’abus de pouvoir.
Mais le Parti Social-Démocrate qui dirige le pays reste inflexible, alors que de nombreux élus du PSD sont soupçonnés de malversations par le parquet anticorruption (DNA).
Le Conseil supérieur de la magistrature, le Défenseur des droits et le président roumain vont contester le décret devant la Cour constitutionnelle.
Ils ont jusqu‘à mardi pour faire valoir leurs arguments devant la plus haute instance du pays.
Klaus Iohannis n’hésitait pas à parler de “deuil pour la primauté du droit” dès mardi soir, lors de la présentation du décret.
Dragi români,
Astăzi este o zi de doliu pentru statul de drept. Statul de drept, care a primit o lovitură... https://t.co/0tblmCNzij— Klaus Iohannis (@KlausIohannis) 31 janvier 2017
En attendant, les manifestants ont prévu de marcher en direction du parlement, ce samedi.
Avec agences.
Category
🗞
News