http://buzzfil.net/
Marko Costanzo, participe depuis plus de trente ans à convertir les rushs de célèbres réalisateurs en d’authentiques scènes cultes. À cet effet, il tord juste une branche de céleri, souffle dans une boisson lactée, écrase des chips dans une passoire, ou encore écrabouille juste une laitue. Avec ces différents gestes anodins Marco Costanzo est devenu l’un des bruiteurs les plus connus du paysage cinématographique.
À l’occasion du dernier épisode de leur série Gut Check, les équipes du site Eater lui ont rendu visite dans son studio du New Jersey et il était question de beaucoup de bouffe.
« Est-ce que tu pourrais me faire un bruit… Plus bleu ? »
« La nourriture donne un son organique que l’on peut facilement contrôler », précise-t-il, et d’ajouter : « Dans le cas de la laitue, par exemple, on a ce petit craquement qui donne l’impression qu’un crâne se fend en deux. » Avec cet exemple peu aguichant, Costanzo fait allusion à Dead Man de Jim Jarmusch, sorti en salle en 1995. De Julie & Julia au Silence des agneaux, le bruiteur une multitude de petites histoires inédites avec la nourriture comme outils de bruitages.
Toutefois, pour avoir travaillé sur plus de 500 films, il est conscient qu’au-delà du réalisme de ses bruitages, c’est leur cohérence avec le ton de la scène tournée qui leur octroie une telle efficacité. Toute la difficulté réside maintenant dans la capacité à trouver le bon ton...
Ainsi raconte-t-il par exemple que pour une pub Pepsi, des commerciaux de la célèbre marque américaine lui ont un jour demandé de réaliser un bruit « plus bleu ».
sources :
http://clubsandwich.konbini.com/news/video-les-bruitages-de-vos-films-preferes-realises-avec-de-la-bouffe/
https://www.youtube.com/watch?v=M7KW8ISKk74
Marko Costanzo, participe depuis plus de trente ans à convertir les rushs de célèbres réalisateurs en d’authentiques scènes cultes. À cet effet, il tord juste une branche de céleri, souffle dans une boisson lactée, écrase des chips dans une passoire, ou encore écrabouille juste une laitue. Avec ces différents gestes anodins Marco Costanzo est devenu l’un des bruiteurs les plus connus du paysage cinématographique.
À l’occasion du dernier épisode de leur série Gut Check, les équipes du site Eater lui ont rendu visite dans son studio du New Jersey et il était question de beaucoup de bouffe.
« Est-ce que tu pourrais me faire un bruit… Plus bleu ? »
« La nourriture donne un son organique que l’on peut facilement contrôler », précise-t-il, et d’ajouter : « Dans le cas de la laitue, par exemple, on a ce petit craquement qui donne l’impression qu’un crâne se fend en deux. » Avec cet exemple peu aguichant, Costanzo fait allusion à Dead Man de Jim Jarmusch, sorti en salle en 1995. De Julie & Julia au Silence des agneaux, le bruiteur une multitude de petites histoires inédites avec la nourriture comme outils de bruitages.
Toutefois, pour avoir travaillé sur plus de 500 films, il est conscient qu’au-delà du réalisme de ses bruitages, c’est leur cohérence avec le ton de la scène tournée qui leur octroie une telle efficacité. Toute la difficulté réside maintenant dans la capacité à trouver le bon ton...
Ainsi raconte-t-il par exemple que pour une pub Pepsi, des commerciaux de la célèbre marque américaine lui ont un jour demandé de réaliser un bruit « plus bleu ».
sources :
http://clubsandwich.konbini.com/news/video-les-bruitages-de-vos-films-preferes-realises-avec-de-la-bouffe/
https://www.youtube.com/watch?v=M7KW8ISKk74
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🎥
Court métrage