Voilà bien uneprofession méconnue du grand public. Son rôle est pourtant capital pour la compréhension et le confort du public.
S’étant illustré dans plus d’une centaine defilms, dont Les Convoyeurs attendent de Benoît Mariage, Trouble de Harry Cleven, A la petite Semaine de Sam Karmann ou le documentaire qui fit sensation Ils ne mourraient pas tous mais tous étaient frappés, notre compatriote Philippe Baudhuin, pilier du Studio l’Equipe de Bruxelles (une référence), était l’hôte idéalpour nous en apprendre plus.
Cinergie : Pourriez-vous nous donner une définition simple de votre travail, et desdifférentes sources à votre disposition?
Philippe Baudhuin: Le travail de mixage consiste à mélanger les sons du film. Les sources sont: les sons directs (enregistrés sur le plateau même), les bruitages (créés en post-production par lebruiteur, qui vient renforcer le réel ou la présence des comédiens), les ambiances préparées par lemonteur (des sons correspondants à un type de lieu et qu’on peut utiliser pour connoter un décors, par exemple un chant d’oiseau ou un bus passant au loin) et les sons seuls, sur lesquelsnous reviendront. Moi j’arrive à la fin du processus et je dois organiser tous ces sons, déterminer le niveau de chacun ou les effets à appliquer par ordinateur. Le tout doit donner lacouleur que le réalisateur désire pour sa scène.
http://www.cinergie.be/article.php?action=display&id=620
S’étant illustré dans plus d’une centaine defilms, dont Les Convoyeurs attendent de Benoît Mariage, Trouble de Harry Cleven, A la petite Semaine de Sam Karmann ou le documentaire qui fit sensation Ils ne mourraient pas tous mais tous étaient frappés, notre compatriote Philippe Baudhuin, pilier du Studio l’Equipe de Bruxelles (une référence), était l’hôte idéalpour nous en apprendre plus.
Cinergie : Pourriez-vous nous donner une définition simple de votre travail, et desdifférentes sources à votre disposition?
Philippe Baudhuin: Le travail de mixage consiste à mélanger les sons du film. Les sources sont: les sons directs (enregistrés sur le plateau même), les bruitages (créés en post-production par lebruiteur, qui vient renforcer le réel ou la présence des comédiens), les ambiances préparées par lemonteur (des sons correspondants à un type de lieu et qu’on peut utiliser pour connoter un décors, par exemple un chant d’oiseau ou un bus passant au loin) et les sons seuls, sur lesquelsnous reviendront. Moi j’arrive à la fin du processus et je dois organiser tous ces sons, déterminer le niveau de chacun ou les effets à appliquer par ordinateur. Le tout doit donner lacouleur que le réalisateur désire pour sa scène.
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