Le lanceur européen Ariane 5 a décollé jeudi depuis Kourou, en Guyane française, avec à son bord quatre nouveaux satellites pour le système européen de navigation Galileo qui pourrait commencer à devenir opérationnel avant la fin de l'année.
Projet emblématique de la Commission européenne, le système de navigation Galileo vise à réduire la dépendance de l'Europe à l'égard du GPS américain, tout en améliorant les services rendus aux utilisateurs grâce à une très grande précision et la datation du signal.
Pour ce lancement, la fusée Ariane 5 a dû être spécialement adaptée car la mission est particulière. Contrairement aux satellites de télécommunication qui sont équipés de systèmes de propulsion leur permettant de fournir une partie de l'énergie nécessaire à leur mise en orbite, les satellites de géolocalisation Galileo doivent être transportés quasiment jusqu'à leur orbite finale à 22 900 km d'altitude.
Si tout se passe bien, 18 satellites de la "constellation" Galileo seront désormais en orbite avec ces quatre nouveaux satellites. Au total, Galileo devrait être composé d'une trentaine de satellites en 2020.
Projet emblématique de la Commission européenne, le système de navigation Galileo vise à réduire la dépendance de l'Europe à l'égard du GPS américain, tout en améliorant les services rendus aux utilisateurs grâce à une très grande précision et la datation du signal.
Pour ce lancement, la fusée Ariane 5 a dû être spécialement adaptée car la mission est particulière. Contrairement aux satellites de télécommunication qui sont équipés de systèmes de propulsion leur permettant de fournir une partie de l'énergie nécessaire à leur mise en orbite, les satellites de géolocalisation Galileo doivent être transportés quasiment jusqu'à leur orbite finale à 22 900 km d'altitude.
Si tout se passe bien, 18 satellites de la "constellation" Galileo seront désormais en orbite avec ces quatre nouveaux satellites. Au total, Galileo devrait être composé d'une trentaine de satellites en 2020.
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