Pour le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, l’Europe doit intensifier ses dépenses militaires ; c’est ce qu’il a affirmé avant la réunion des ministres de la défense européens à Bruxelles.
Selon lui, le futur président des Etats-Unis Donald Trump a raison d’exiger plus de la part des Européens.
“Que l’OTAN soit forte est important pour l’Europe, mais aussi pour les Etats-Unis. Donald Trump a également insisté sur l’importance d’augmenter le budget de la défense et je suis parfaitement d’accord avec lui. C’est le message des chefs d’Etats américains depuis longtemps, et la bonne chose est que l’on voit actuellement les Européens investir plus en défense.”
Trump a remis en question la notion de sécurité collective pendant sa campagne, en jetant le doute sur une intervention des Etats-Unis en faveur d‘états qui ne respecteraient pas les 2% de PIB au budget défense.
Actuellement, des 28 pays membres, seuls cinq atteignent l’objectif de budget fixé par l’organisation.
Selon le commandant-en-chef actuel Barack Obama, malgré ses menaces Trump honorera l’engagement du pays envers l’Otan.
A Bruxelles, les discussions des ministres de la défense porteront notamment sur l’occupation de la Crimée et le soutien des séparatistes pro-russes en Ukraine par Moscou, ou l’opération militaire en Afghanistan.
Selon lui, le futur président des Etats-Unis Donald Trump a raison d’exiger plus de la part des Européens.
“Que l’OTAN soit forte est important pour l’Europe, mais aussi pour les Etats-Unis. Donald Trump a également insisté sur l’importance d’augmenter le budget de la défense et je suis parfaitement d’accord avec lui. C’est le message des chefs d’Etats américains depuis longtemps, et la bonne chose est que l’on voit actuellement les Européens investir plus en défense.”
Trump a remis en question la notion de sécurité collective pendant sa campagne, en jetant le doute sur une intervention des Etats-Unis en faveur d‘états qui ne respecteraient pas les 2% de PIB au budget défense.
Actuellement, des 28 pays membres, seuls cinq atteignent l’objectif de budget fixé par l’organisation.
Selon le commandant-en-chef actuel Barack Obama, malgré ses menaces Trump honorera l’engagement du pays envers l’Otan.
A Bruxelles, les discussions des ministres de la défense porteront notamment sur l’occupation de la Crimée et le soutien des séparatistes pro-russes en Ukraine par Moscou, ou l’opération militaire en Afghanistan.
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