L’A.P.R./F.P.R. a mis sur pied une structure militaire parallèle chargée de la réalisation des assassinats sélectifs, massacres systématiques ou actions d’infiltration.
Cette structure parallèle était constituée par les groupes suivants :
- « Escadrons de la Mort » qui se sont formés pour la réalisation d’une action spécifique et qui se sont dissous immédiatement ;
- La « Local Defense Force » (LDF) aussi connue sous l’appellation « Reserve Forces » et qui incluait les enfants-soldats âgés de 15 ans ou moins que l’on appelait « kadogo » ;
- Le réseau de commandos « Network Commando », créé en 1992, avec pour mission la réalisation des opérations de « nettoyage » et des actes terroristes contre la population Hutu et les autres personnes sélectionnées [p.19] ;
- Le « Directorate Military Intelligence » (DMI), branche chargée officiellement des services de renseignement militaire, quoique non-officiellement chargée de la planification et de l’organisation des crimes systématiques, et tout spécialement par le biais des « Intelligence Officers » (I.O.) et de leur « Intelligence Staff » (I.S.), ainsi que sa branche extérieure l’ « External Security Office » (E.S.O.) ;
- Le « Criminal Investigation Department » (C.I.D.), groupe paramilitaire chargé de la réalisation des arrestations massives de populations dans le but de les interroger et de les torturer, afin d’obtenir des informations sur les victimes suivantes ;
- Le « Surveillance and Security » aux ordres du DMI et chargé des travaux de renseignement dans les grandes villes ;
- Et finalement cette structure parallèle comprennait les citoyens appartenant aux cadres locaux du F.P.R., connus comme les « Comités de Sécurité » (constitués par quatre militaires du F.P.R.), les Chefs de Zone qui contrôlent une portion limitée du territoire, ainsi que les « abakada », informateurs occasionnels dans le but de préciser les crimes.
Cette structure parallèle était constituée par les groupes suivants :
- « Escadrons de la Mort » qui se sont formés pour la réalisation d’une action spécifique et qui se sont dissous immédiatement ;
- La « Local Defense Force » (LDF) aussi connue sous l’appellation « Reserve Forces » et qui incluait les enfants-soldats âgés de 15 ans ou moins que l’on appelait « kadogo » ;
- Le réseau de commandos « Network Commando », créé en 1992, avec pour mission la réalisation des opérations de « nettoyage » et des actes terroristes contre la population Hutu et les autres personnes sélectionnées [p.19] ;
- Le « Directorate Military Intelligence » (DMI), branche chargée officiellement des services de renseignement militaire, quoique non-officiellement chargée de la planification et de l’organisation des crimes systématiques, et tout spécialement par le biais des « Intelligence Officers » (I.O.) et de leur « Intelligence Staff » (I.S.), ainsi que sa branche extérieure l’ « External Security Office » (E.S.O.) ;
- Le « Criminal Investigation Department » (C.I.D.), groupe paramilitaire chargé de la réalisation des arrestations massives de populations dans le but de les interroger et de les torturer, afin d’obtenir des informations sur les victimes suivantes ;
- Le « Surveillance and Security » aux ordres du DMI et chargé des travaux de renseignement dans les grandes villes ;
- Et finalement cette structure parallèle comprennait les citoyens appartenant aux cadres locaux du F.P.R., connus comme les « Comités de Sécurité » (constitués par quatre militaires du F.P.R.), les Chefs de Zone qui contrôlent une portion limitée du territoire, ainsi que les « abakada », informateurs occasionnels dans le but de préciser les crimes.
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