Patrick VIGNAL, Député de la 9 ° Circonscription de l' HERAULT est né le 22 janvier 1958 à Montpellier, à la clinique Saint-Roch. Sa mère, née Arlette Mezuchetti, d’origine corse, a passé toute son enfance à Figuerolles. Son père, maçon et champion d’haltérophilie, “amoureux” de Georges Marchais, est né dans le quartier des Abattoirs (les Beaux-Arts aujourd’hui ).
Patrick Vignal est un « pur enfant des faubourgs ouvriers » de Montpellier. Il fait partie d’une famille installée ici depuis cinq générations, « multi barons de caravètes ! ». Une famille intimement liée à sa ville donc, et à ses drames : lors des inondations du Lez en 1933, celle-ci, qui habitait au bord du Lez, fut décimée. Seule la grand-mère de Patrick Vignal et un de ses frères ont survécu…
L’ENFANCE, L’ADOLESCENCE
À la cité Saint-Roch, dans laquelle il habitera jusqu’à l’âge de 19 ans, le jeune Patrick Vignal vit une enfance heureuse. Entre sa mère et ses trois sœurs ( Chantal et Lyne, ses aînées, et Martine la cadette ), il a la chance de vivre dans un « cocon, entouré et choyé ». Dans son quartier, il partage un certain goût pour l’insouciance avec ses « copains »,
ces 45 enfants que comptait son immeuble… C’est l’époque des cabanes et des goûters chez les voisins, du futur Antigone comme terrain de jeux, des boums…
Dès l’âge de 12 ans, il fait ses premiers pas dans la vie active en accompagnant son père sur les chantiers durant l’été. De quoi se payer une première moto à seize ans, et d’avoir la tête sur les épaules. L’école ? C’est avant tout celle de la rue, celle des copains. Il fréquente le lycée Mermoz, « se contente » d’un cycle court, BEP de vente.
Les premières amours ? À l’âge de 14 ans, il rencontre Françoise Chastan, la future madame Vignal, au camping de Palavas où il passe toutes ses vacances…
Parti de rien, Patrick Vignal va faire une autre rencontre qui va changer sa vie…
LA RENCONTRE AVEC LES ARTS MARTIAUX
C’est l’histoire d’un hasard : à 17 ans, Patrick Vignal se balade dans
Patrick Vignal est un « pur enfant des faubourgs ouvriers » de Montpellier. Il fait partie d’une famille installée ici depuis cinq générations, « multi barons de caravètes ! ». Une famille intimement liée à sa ville donc, et à ses drames : lors des inondations du Lez en 1933, celle-ci, qui habitait au bord du Lez, fut décimée. Seule la grand-mère de Patrick Vignal et un de ses frères ont survécu…
L’ENFANCE, L’ADOLESCENCE
À la cité Saint-Roch, dans laquelle il habitera jusqu’à l’âge de 19 ans, le jeune Patrick Vignal vit une enfance heureuse. Entre sa mère et ses trois sœurs ( Chantal et Lyne, ses aînées, et Martine la cadette ), il a la chance de vivre dans un « cocon, entouré et choyé ». Dans son quartier, il partage un certain goût pour l’insouciance avec ses « copains »,
ces 45 enfants que comptait son immeuble… C’est l’époque des cabanes et des goûters chez les voisins, du futur Antigone comme terrain de jeux, des boums…
Dès l’âge de 12 ans, il fait ses premiers pas dans la vie active en accompagnant son père sur les chantiers durant l’été. De quoi se payer une première moto à seize ans, et d’avoir la tête sur les épaules. L’école ? C’est avant tout celle de la rue, celle des copains. Il fréquente le lycée Mermoz, « se contente » d’un cycle court, BEP de vente.
Les premières amours ? À l’âge de 14 ans, il rencontre Françoise Chastan, la future madame Vignal, au camping de Palavas où il passe toutes ses vacances…
Parti de rien, Patrick Vignal va faire une autre rencontre qui va changer sa vie…
LA RENCONTRE AVEC LES ARTS MARTIAUX
C’est l’histoire d’un hasard : à 17 ans, Patrick Vignal se balade dans
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