La nouvelle vie de Fleur Pellerin
- il y a 8 ans
De ministre à entrepreneuse : c'est le parcours de Fleur Pellerin. Évincée du gouvernement Valls au mois de février, l'ancienne ministre de la Culture et de la Communication a décidé de créer une société consacrée à l'accompagnement des investissements coréens en France, d'après le Journal du Dimanche. Une décision qui met, de fait, un terme à sa vie politique. Pour pénétrer la sphère du domaine privé, Fleur Pellerin a en effet quitté son poste à la Cour des Comptes et renoncé à la fonction publique.
La société de l'ancienne ministre prendra le nom de Korelya. L'entreprise aura pour fonction d'accompagner les investissements en nouvelle technologie, émanant de la Corée et à destination de la France. Sur le papier, l'exercice est dans les cordes de la native de Séoul, qui est diplômée de l'ESSEC, une grande école de commerce franco-singapourienne.
Ce nouveau projet de Fleur Pellerin a été examiné par la Haute Autorité à la transparence de la vie politique. L'instance, chargée de vérifier l'absence de conflit d'intérêts pour les fonctionnaires qui partent dans le privé, a émis un avis favorable à cette reconversion professionnelle. Si elle quitte la fonction publique, l'ancienne ministre souhaite toujours apporter sa pierre à l'édifice. Quelques jours après son éviction du gouvernement, elle avait déclaré à l'Obs : "ne pas pouvoir imaginer une seconde ne pas jouer un rôle dans le destin du pays".
La société de l'ancienne ministre prendra le nom de Korelya. L'entreprise aura pour fonction d'accompagner les investissements en nouvelle technologie, émanant de la Corée et à destination de la France. Sur le papier, l'exercice est dans les cordes de la native de Séoul, qui est diplômée de l'ESSEC, une grande école de commerce franco-singapourienne.
Ce nouveau projet de Fleur Pellerin a été examiné par la Haute Autorité à la transparence de la vie politique. L'instance, chargée de vérifier l'absence de conflit d'intérêts pour les fonctionnaires qui partent dans le privé, a émis un avis favorable à cette reconversion professionnelle. Si elle quitte la fonction publique, l'ancienne ministre souhaite toujours apporter sa pierre à l'édifice. Quelques jours après son éviction du gouvernement, elle avait déclaré à l'Obs : "ne pas pouvoir imaginer une seconde ne pas jouer un rôle dans le destin du pays".