S’il remporte les élections américaines, le candidat républicain Donald Trump a promis lundi d’imposer des critères d’admission très stricts aux migrants originaires de pays liés au terrorisme : ils devraient prouver dans un questionnaire qu’ils adhèrent aux idéaux américains de “tolérance” et de “pluralisme”.
En campagne dans l’Ohio, Trump s’en est également pris à nouveau au camp démocrate, affirmant que “l’essor du groupe Etat islamique est le résultat direct des décisions politiques prise par le président Obama et la secrétaire d’Etat Hillary Clinton”.
Le milliardaire tente de rebondir en exploitant la menace terroriste, alors que sa popularité est en baisse et que ses adversaires multiplient les attaques. ‘“Aucun candidat d’un grand parti dans l’histoire américaine n’a eu aussi peu de connaissances et n’a été aussi peu préparé à s’occuper de notre sécurité nationale que Donald Trump, a affirmé lundi le vice-président américain Joe Biden. Et ce qui me stupéfait, c’est qu’il ne semble pas vouloir l’apprendre.”
C’est la première fois que Joe Biden apparaissait aux côtés de Hillary Clinton. Un soutien de poids pour celle qui sillonne tout l‘été les “swing states”, ces Etats susceptibles de faire basculer l‘élection, dans l’objectif de séduire les électeurs de la classe moyenne tentée par le discours populiste de Donald Trump. La candidate démocrate devance actuellement son concurrent de sept points dans les intentions de votes.
En campagne dans l’Ohio, Trump s’en est également pris à nouveau au camp démocrate, affirmant que “l’essor du groupe Etat islamique est le résultat direct des décisions politiques prise par le président Obama et la secrétaire d’Etat Hillary Clinton”.
Le milliardaire tente de rebondir en exploitant la menace terroriste, alors que sa popularité est en baisse et que ses adversaires multiplient les attaques. ‘“Aucun candidat d’un grand parti dans l’histoire américaine n’a eu aussi peu de connaissances et n’a été aussi peu préparé à s’occuper de notre sécurité nationale que Donald Trump, a affirmé lundi le vice-président américain Joe Biden. Et ce qui me stupéfait, c’est qu’il ne semble pas vouloir l’apprendre.”
C’est la première fois que Joe Biden apparaissait aux côtés de Hillary Clinton. Un soutien de poids pour celle qui sillonne tout l‘été les “swing states”, ces Etats susceptibles de faire basculer l‘élection, dans l’objectif de séduire les électeurs de la classe moyenne tentée par le discours populiste de Donald Trump. La candidate démocrate devance actuellement son concurrent de sept points dans les intentions de votes.
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