..mais pas forcément illogique non plus..certes comme prévu nous étions supérieurs au Portugal, à fortiori après la sortie très rapide de son joueur majeur, mais au delà d’une certaine domination (de moins en moins nette à partir de l’heure de jeu..) nous avons manqué cruellement de maturité..cette maturité dont disposait notre adversaire finalement, car hormis les rushs, un poil illusoires car finalement assez individuels, de "robocop Sissoko", où était le joueur capable de laisser du temps au temps, de fluidifier notre jeu -généreux certes mais si désordonné-, de mettre un cerveau là où les jambes prenaient un peu trop le dessus.."Sans maîtrise la puissance n’est rien.." pour reprendre le slogan d’une marque de pneu italien très connue..(marque encore plus connue d’ailleurs désormais pour son calendrier très sexy..)..ou alors, pour mettre vraiment le feu, il nous aurait fallu l’étincelle du génie, et celui du dribble n’était pas retenu dans les 23, alors..alors les centimètres n’étant pas de notre côté (Gignac), à défaut du talent le cerveau étant portugais, l’audace, et la lucidité !!!, de leur sélectionneur (remplacer à un moment charnière un milieu de terrain -Renato Sanches- par un attaquant -Eder-) ont fait le reste..Bravo à lui et au Portugal, le foot est cruel c’est vrai, mais à se voir trop beaux de notre côté je le sentais moyen j’avoue..oui, même inconsciemment il y avait, je trouve, une trop grande confiance générale nous concernant autour de cette finale..
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