Le photographe Johnny Miller a utilisé un drone afin de dévoiler la frontière géographique qui persiste entre les populations riches et pauvres de l’Afrique du sud.
A 20 km du centre-ville de Cape Town se dresse une banlieue chic constituée de plusieurs habitations spacieuses. La communauté de Lake Michelle est entourée d’une clôture électrifiée, les habitants aiment passer leur temps libre à faire des balades en cheval, à faire du surf…
Tandis que quelques mètres plus loin, au niveau de Masiphumelele, 38 000 personnes vivent entassées dans des petites maisons rudimentaires en tôle. Dans ce township, aucun poste de police n’est présent, il existe seulement une clinique de jour et une école qui est pour l’heure, surpeuplée. D’après les chiffres de Wikipédia, 30 à 40% de la population serait infectée par le VIH et/ou la tuberculose.
Et entre ces deux mondes opposés, une grande forêt s’impose et rappelle le régime de l’apartheid pourtant aboli depuis le 30 juin 1991. Mais aujourd’hui, les espaces urbains sont toujours bel et bien délimités entre les deux populations. L’objectif du projet de Johnny Miller est justement de mettre en relief l’existence des inégalités et de transmettre les réalités des écarts de richesse en Afrique.
A 20 km du centre-ville de Cape Town se dresse une banlieue chic constituée de plusieurs habitations spacieuses. La communauté de Lake Michelle est entourée d’une clôture électrifiée, les habitants aiment passer leur temps libre à faire des balades en cheval, à faire du surf…
Tandis que quelques mètres plus loin, au niveau de Masiphumelele, 38 000 personnes vivent entassées dans des petites maisons rudimentaires en tôle. Dans ce township, aucun poste de police n’est présent, il existe seulement une clinique de jour et une école qui est pour l’heure, surpeuplée. D’après les chiffres de Wikipédia, 30 à 40% de la population serait infectée par le VIH et/ou la tuberculose.
Et entre ces deux mondes opposés, une grande forêt s’impose et rappelle le régime de l’apartheid pourtant aboli depuis le 30 juin 1991. Mais aujourd’hui, les espaces urbains sont toujours bel et bien délimités entre les deux populations. L’objectif du projet de Johnny Miller est justement de mettre en relief l’existence des inégalités et de transmettre les réalités des écarts de richesse en Afrique.
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