Les cas d’inondations se multiplient dans le Loiret ou en Seine-et-Marne, seul département à être maintenu, ce jeudi après-midi, en «vigilance rouge».
C’est pourtant sur le cas de Longjumeau (Essonne), symptomatique de cette situation exceptionnelle, que nous vous proposons de nous attarder. La ville de 22000 habitants, sous les eaux après la crue de l’Yvette, était au centre de toutes les attentions dans nos JT.
Après l’urgence des premières heures pour secourir les personnes les plus fragiles, l’évacuation se fait désormais au cas par cas. Alors que la rivière est rentrée dans son lit, que l’électricité a été coupée, des gymnases ont été réquisitionnés pour héberger les habitants de la ville. Néanmoins, en début d’après-midi, près de 2000 personnes touchées attendaient toujours d’être prises en charge. «Nous sommes dans une crise qui va durer. Ça ne va pas s’arrêter demain (vendredi) matin. […] Il faut que les gens comprennent que nous sommes dans cette logique préventive de sécurité», a indiqué Josiane Chevalier, préfète de l’Essonne.
C’est pourtant sur le cas de Longjumeau (Essonne), symptomatique de cette situation exceptionnelle, que nous vous proposons de nous attarder. La ville de 22000 habitants, sous les eaux après la crue de l’Yvette, était au centre de toutes les attentions dans nos JT.
Après l’urgence des premières heures pour secourir les personnes les plus fragiles, l’évacuation se fait désormais au cas par cas. Alors que la rivière est rentrée dans son lit, que l’électricité a été coupée, des gymnases ont été réquisitionnés pour héberger les habitants de la ville. Néanmoins, en début d’après-midi, près de 2000 personnes touchées attendaient toujours d’être prises en charge. «Nous sommes dans une crise qui va durer. Ça ne va pas s’arrêter demain (vendredi) matin. […] Il faut que les gens comprennent que nous sommes dans cette logique préventive de sécurité», a indiqué Josiane Chevalier, préfète de l’Essonne.
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