Imaginé par David Jamet, ingénieur en informatique et ancien nageur de compétition, Swimbot est un objet connecté qui peut à la fois permettre à quiconque d'apprendre à nager et peaufiner sa technique à l'extrême pour des champions olympique. Une création française qui pourrait changer l'univers de la natation !
Un Swimbot s'installe à l'arrière de la tête, dans un bonnet de bain. David Jamet explique qu'à cet endroit, le crâne humain perçoit le moindre micro-mouvement du corps par vibration. Et c'est aussi par vibration que le Swimbot transmet des informations en temps réel au nageur, sous forme de bips sonores transmis par conduction osseuse via des "écouteurs" particuliers. Le but du jeu est de plus entendre ces bips, différents pour chaque exercice, preuve que le geste est devenu parfait. Des champions olympique comme Alain Bernard, parrain du Swimbot ou Florent Manaudou font eux aussi biper l'objet sur des micro-défauts à corriger.
Swimbot-illustration
L'objet va de pair avec une application mobile qui propose de nombreux tutoriels animés en 3D pour comprendre l'objectif de chaque exercice et synchronise les données à l'issue de l'entrainement.; Le nageur peut ainsi analyser sa séance et suivre sa progression. Techniquement, le Swimbot pèse uniquement 60 grammes, tourne sous une version personnalisée d'Android avec un micro processeur de très faible consommation et intègre même un lecteur mp3 pour rendre les séances plus agréables.
La startup vient de boucler avec succès une campagne Indiegogo alors que son produit est déjà finalisé et industrialisable. Il s'agissait simplement de booster les premières ventes avec une version early birds signée Alain Bernard à 219 €. Au delà de l'utilisation dans un cadre d'entrainement à la compétition avec des équipes nationales équipées en vue des JO de Rio, la marché principal visé par Swimbot est celui de l'apprentissage de la natation dans des pays comme la Chine où personne ou presque ne sait nager. Un marché mondial qui concerne un bon tiers de la population du globe.
Rencontre avec David Jamet, CEO de Swimbot. @_SwimBoT_
Un Swimbot s'installe à l'arrière de la tête, dans un bonnet de bain. David Jamet explique qu'à cet endroit, le crâne humain perçoit le moindre micro-mouvement du corps par vibration. Et c'est aussi par vibration que le Swimbot transmet des informations en temps réel au nageur, sous forme de bips sonores transmis par conduction osseuse via des "écouteurs" particuliers. Le but du jeu est de plus entendre ces bips, différents pour chaque exercice, preuve que le geste est devenu parfait. Des champions olympique comme Alain Bernard, parrain du Swimbot ou Florent Manaudou font eux aussi biper l'objet sur des micro-défauts à corriger.
Swimbot-illustration
L'objet va de pair avec une application mobile qui propose de nombreux tutoriels animés en 3D pour comprendre l'objectif de chaque exercice et synchronise les données à l'issue de l'entrainement.; Le nageur peut ainsi analyser sa séance et suivre sa progression. Techniquement, le Swimbot pèse uniquement 60 grammes, tourne sous une version personnalisée d'Android avec un micro processeur de très faible consommation et intègre même un lecteur mp3 pour rendre les séances plus agréables.
La startup vient de boucler avec succès une campagne Indiegogo alors que son produit est déjà finalisé et industrialisable. Il s'agissait simplement de booster les premières ventes avec une version early birds signée Alain Bernard à 219 €. Au delà de l'utilisation dans un cadre d'entrainement à la compétition avec des équipes nationales équipées en vue des JO de Rio, la marché principal visé par Swimbot est celui de l'apprentissage de la natation dans des pays comme la Chine où personne ou presque ne sait nager. Un marché mondial qui concerne un bon tiers de la population du globe.
Rencontre avec David Jamet, CEO de Swimbot. @_SwimBoT_
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