Retour devant la justice, ce mardi, pour Anders Behring Breivik.
Mais cette fois-ci, il tient le rôle de l’accusateur.
Celui qui a tué 77 personnes en juillet 2011 poursuit l’Etat norvégien pour traitement inhumain et dégradant en prison.
Selon lui, son placement à l’isolement depuis son arrestation, le 22 juillet 2011, jour du massacre, serait une forme de “torture”.
Son avocat évoque même des “séquelles évidentes” liées à ses conditions d’enfermement.
Le quotidien de Breivik en prison se résume à des contacts très surveillés avec le monde extérieur et des correspondances passées au crible par l’administration carcérale.
Selon le procureur général, qui défend l’Etat, il n’est pas totalement coupé de relations avec le monde extérieur et ses conditions de détention correspondraient aux critères fixés par la Convention européenne des droits de l’Homme.
Mais cette fois-ci, il tient le rôle de l’accusateur.
Celui qui a tué 77 personnes en juillet 2011 poursuit l’Etat norvégien pour traitement inhumain et dégradant en prison.
Selon lui, son placement à l’isolement depuis son arrestation, le 22 juillet 2011, jour du massacre, serait une forme de “torture”.
Son avocat évoque même des “séquelles évidentes” liées à ses conditions d’enfermement.
Le quotidien de Breivik en prison se résume à des contacts très surveillés avec le monde extérieur et des correspondances passées au crible par l’administration carcérale.
Selon le procureur général, qui défend l’Etat, il n’est pas totalement coupé de relations avec le monde extérieur et ses conditions de détention correspondraient aux critères fixés par la Convention européenne des droits de l’Homme.
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