Ziad kalaban Ziad ghandour
- il y a 17 ans
Avril 2007 :
Ziad Kabalan (24 ans) et Ziad Ghandour (12 ans) : leurs deux corps ont été retrouvés dans un terrain vague à Jadra, un village de l’Iqlim el-Kharroub (sud de Beyrouth),
les corps des deux victimes portaient des traces de torture, et ils ont été atteints de plusieurs balles tirées à bout portant, dont au visage.
Ziad Kabalan et Ziad Ghandour, tous deux issus de familles sunnites proches du Parti socialiste progressiste (PSP), avaient été enlevés au niveau de Aïn el-Remmaneh
Dès les premiers instants après l’enlèvement, des soupçons ont pesé sur des membres de la famille Chamas qui chercheraient à venger la mort de l’un des leurs, Adnane Chamas, tué lors des émeutes de l’Université arabe, le jeudi 25 janvier 2007, sachant qu’un ressortissant syrien, arrêté après les faits, a avoué le crime.
D’ailleurs, de source judiciaire citée par l’agence al-Markaziya, les noms de Kabalan et de Ghandour ne figuraient même pas dans la plainte déposée par la famille Chamas après le meurtre du jeune Adnane.
La famille Chamas a elle-même publié un communiqué dénonçant l’enlèvement du jeune homme et de l’enfant, déclarant n’avoir aucun lien avec cette affaire. Des informations indiquaient aussi que les forces de l’ordre avaient désormais connaissance des plaques d’immatriculation des deux véhicules conduits par les agresseurs, et l’un d’eux appartiendrait au frère du jeune Chamas assassiné.
R.I.P
Ziad Kabalan (24 ans) et Ziad Ghandour (12 ans) : leurs deux corps ont été retrouvés dans un terrain vague à Jadra, un village de l’Iqlim el-Kharroub (sud de Beyrouth),
les corps des deux victimes portaient des traces de torture, et ils ont été atteints de plusieurs balles tirées à bout portant, dont au visage.
Ziad Kabalan et Ziad Ghandour, tous deux issus de familles sunnites proches du Parti socialiste progressiste (PSP), avaient été enlevés au niveau de Aïn el-Remmaneh
Dès les premiers instants après l’enlèvement, des soupçons ont pesé sur des membres de la famille Chamas qui chercheraient à venger la mort de l’un des leurs, Adnane Chamas, tué lors des émeutes de l’Université arabe, le jeudi 25 janvier 2007, sachant qu’un ressortissant syrien, arrêté après les faits, a avoué le crime.
D’ailleurs, de source judiciaire citée par l’agence al-Markaziya, les noms de Kabalan et de Ghandour ne figuraient même pas dans la plainte déposée par la famille Chamas après le meurtre du jeune Adnane.
La famille Chamas a elle-même publié un communiqué dénonçant l’enlèvement du jeune homme et de l’enfant, déclarant n’avoir aucun lien avec cette affaire. Des informations indiquaient aussi que les forces de l’ordre avaient désormais connaissance des plaques d’immatriculation des deux véhicules conduits par les agresseurs, et l’un d’eux appartiendrait au frère du jeune Chamas assassiné.
R.I.P