"Il n'y a pratiquement rien dans le droit français pour des personnes comme elles aujourd'hui, si ce n'est la possibilité de témoigner sous X, qui justement ne lui a même pas été accordée. (…) Le reste c'est du bricolage mis en forme par les services", a expliqué Patrick Baudouin, président d'honneur de la Fédération internationale pour les Droits de l'Homme et avocat, à propos de la protection de Sonia. Cette femme a utilisé le 197, le numéro d’urgence mis en place par le ministère de l’Intérieur au lendemain du 13 novembre pour fournir des renseignements aux enquêteurs.
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