Deneriaz raccroche
- il y a 17 ans
On le pressentait depuis quelques jours. La nouvelle a été officialisée mercredi matin. Antoine Dénériaz a décidé de raccrocher les skis. «Une page se tourne», a déclaré le champion olympique de descente, au siège de la Fédération française, à Annecy.
Depuis son couronnement sur la piste de Sestrières le 12 février 2006, Dénériaz n'a plus jamais côtoyé les sommets. La faute probablement à une très lourde chute lors d'un entraînement à Are (Suède), toujours en 2006, qui l'a profondément fait douter.
«Pour moi, le ski, c'est gagner des courses et obtenir des podiums»
«C'est la première fois que je me suis rendu compte que je pratiquais un sport à risque. La descente, ce n'est quand même pas rien, a expliqué Dénériaz, accablé ensuite par plusieurs problèmes physiques. J'ai attrapé un staphylocoque doré avant d'être opéré du ménisque. Je n'ai jamais réussi à m'en remettre. Je me suis entraîné très dur physiquement pour revenir mais j'ai très mal attaqué la saison. J'ai touché le fond à Beaver Creek. Pour moi, le ski, c'est gagner des courses et obtenir des podiums.»
Depuis son couronnement sur la piste de Sestrières le 12 février 2006, Dénériaz n'a plus jamais côtoyé les sommets. La faute probablement à une très lourde chute lors d'un entraînement à Are (Suède), toujours en 2006, qui l'a profondément fait douter.
«Pour moi, le ski, c'est gagner des courses et obtenir des podiums»
«C'est la première fois que je me suis rendu compte que je pratiquais un sport à risque. La descente, ce n'est quand même pas rien, a expliqué Dénériaz, accablé ensuite par plusieurs problèmes physiques. J'ai attrapé un staphylocoque doré avant d'être opéré du ménisque. Je n'ai jamais réussi à m'en remettre. Je me suis entraîné très dur physiquement pour revenir mais j'ai très mal attaqué la saison. J'ai touché le fond à Beaver Creek. Pour moi, le ski, c'est gagner des courses et obtenir des podiums.»