MIMILE
"Mimile et les ramulots" animent le bal -
Le dernier dimanche de chaque mois - à16 heures-
au BIZZ’ART CANAL ST MARTIN - 167 Quai de Valmy, -paris
« Chaque morceau est un petit film en noir et blanc. Chaque chanson, chaque ligne, chaque mot est revisité, réinvesti, projeté, ironisé ou claqué avec une justesse incomparable. Le décor musical musette dessiné par Jerome Gibert est tout entier imprégné de notre histoire musicale jusqu’au moindre triolet de l’accordéon, jusqu’au plus petit coup de cymbale, jusqu’aux brisures de tempo qui laisse la place au verbe. Les thèmes abordés sonnent comme une remise des pendules à l’heure : « les hiboux », « les voyous », « il n’est pas distingués » résonnent comme les paroles des petites gens quand ils rêvent au comptoir. Le maquereau d’un soir peut ainsi se faire tout petit, voir attendrissant. Le gros vilain s’incline, avoue qu’il ne sait pas danser ou lance une poignante déclaration d’amour dans une « valse chavirée » tellement vécue de l’intérieur qu’on semble le voir chanter la casquette à la main. Monsieur Mimile est plus qu’un chanteur, il est un acteur rare, sorte de griot blanc, harangueur de foule jusqu'à la pointe des cheveux. Il semble avoir inventé l’argot qu’il vous balance. Lui les chansons, il les connaît de l’intérieur.
Le dernier dimanche de chaque mois - à16 heures-
au BIZZ’ART CANAL ST MARTIN - 167 Quai de Valmy, -paris
« Chaque morceau est un petit film en noir et blanc. Chaque chanson, chaque ligne, chaque mot est revisité, réinvesti, projeté, ironisé ou claqué avec une justesse incomparable. Le décor musical musette dessiné par Jerome Gibert est tout entier imprégné de notre histoire musicale jusqu’au moindre triolet de l’accordéon, jusqu’au plus petit coup de cymbale, jusqu’aux brisures de tempo qui laisse la place au verbe. Les thèmes abordés sonnent comme une remise des pendules à l’heure : « les hiboux », « les voyous », « il n’est pas distingués » résonnent comme les paroles des petites gens quand ils rêvent au comptoir. Le maquereau d’un soir peut ainsi se faire tout petit, voir attendrissant. Le gros vilain s’incline, avoue qu’il ne sait pas danser ou lance une poignante déclaration d’amour dans une « valse chavirée » tellement vécue de l’intérieur qu’on semble le voir chanter la casquette à la main. Monsieur Mimile est plus qu’un chanteur, il est un acteur rare, sorte de griot blanc, harangueur de foule jusqu'à la pointe des cheveux. Il semble avoir inventé l’argot qu’il vous balance. Lui les chansons, il les connaît de l’intérieur.
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