Philippe Torreton est comédien et écrivain.
«Avec Nicolas Mayer-Rossignol nous nous sommes rencontrés à l’inauguration d’un centre culturel, à St-Pierre-lès-Elbeuf, et j’avais été frappé par le volontarisme de son discours en matière de culture. J’ai entendu des choses que je n’entendais pas ailleurs, c’est à dire une hausse du budget. Enfin un homme politique qui a compris que même en période, et peut-être surtout en période, de crise économique, la culture n’est pas à abandonner. Non seulement elle n’est pas à abandonner mais il faut aussi augmenter son budget, parce que la culture c’est du vivre-ensemble, c’est de l’économie.
Cette nouvelle Normandie, cette grande Normandie, doit impérativement avoir un rayonnement culturel bien au-delà des frontières de l’hexagone, à l’échelon européen et mondial. Pour cela il faut s’équiper, il faut penser l’avenir culturel de la Région, et j’ai pu constater, en discutant avec lui, que Nicolas Mayer-Rossignol avait ce soucis là en tête. Beaucoup plus qu’aucun autre.»
«Avec Nicolas Mayer-Rossignol nous nous sommes rencontrés à l’inauguration d’un centre culturel, à St-Pierre-lès-Elbeuf, et j’avais été frappé par le volontarisme de son discours en matière de culture. J’ai entendu des choses que je n’entendais pas ailleurs, c’est à dire une hausse du budget. Enfin un homme politique qui a compris que même en période, et peut-être surtout en période, de crise économique, la culture n’est pas à abandonner. Non seulement elle n’est pas à abandonner mais il faut aussi augmenter son budget, parce que la culture c’est du vivre-ensemble, c’est de l’économie.
Cette nouvelle Normandie, cette grande Normandie, doit impérativement avoir un rayonnement culturel bien au-delà des frontières de l’hexagone, à l’échelon européen et mondial. Pour cela il faut s’équiper, il faut penser l’avenir culturel de la Région, et j’ai pu constater, en discutant avec lui, que Nicolas Mayer-Rossignol avait ce soucis là en tête. Beaucoup plus qu’aucun autre.»
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