Samuel Cohen et Arthur Bard sont les fondateurs de France Barter, un réseau qui met en relation des entreprises pour acheter et vendre des prestations contre une unité de change appelée le Bart€r Euro.
L'idée de cette startup créée en 2014 est de permettre l'échange de biens et de services sans sortir de trésorerie. En clair, France Barter offre la possibilité aux entreprises de financer certaines dépenses ou projets d'achats en échange de leur propre production. "On organise une sorte de troc juridique sécurisé en s'appuyant sur des factures payées en nature et enregistrées comptablement" explique Samuel Cohen, le co-fondateur.
Pour accéder à cette plateforme collaborative interentreprises qui compte actuellement 400 adhérents, il existe un droit d'entrée fixé à 235€ par an. Sur ces 235€, 100€ sont une prise de part de la coopérative de France Barter. Par ailleurs, la startup FinTech implantée à Lyon et Paris prélève 5% de commission sur chaque transaction.
De l'agroalimentaire, au bâtiment en passant par le transport, la communication, l'industrie, la logistique, les matières premières, le textile et le mobilier, France Barter permet des échanges entre entreprises dans de nombreux secteurs.
France Barter qui se présente comme le premier réseau de barter online en France à destination des TPE et PME recherche actuellement 300 000 euros via une campagne de crowdfunding sur Wiseed.
Rencontre avec le co-fondateur de France Barter, Samuel Cohen. @FranceBarter
L'idée de cette startup créée en 2014 est de permettre l'échange de biens et de services sans sortir de trésorerie. En clair, France Barter offre la possibilité aux entreprises de financer certaines dépenses ou projets d'achats en échange de leur propre production. "On organise une sorte de troc juridique sécurisé en s'appuyant sur des factures payées en nature et enregistrées comptablement" explique Samuel Cohen, le co-fondateur.
Pour accéder à cette plateforme collaborative interentreprises qui compte actuellement 400 adhérents, il existe un droit d'entrée fixé à 235€ par an. Sur ces 235€, 100€ sont une prise de part de la coopérative de France Barter. Par ailleurs, la startup FinTech implantée à Lyon et Paris prélève 5% de commission sur chaque transaction.
De l'agroalimentaire, au bâtiment en passant par le transport, la communication, l'industrie, la logistique, les matières premières, le textile et le mobilier, France Barter permet des échanges entre entreprises dans de nombreux secteurs.
France Barter qui se présente comme le premier réseau de barter online en France à destination des TPE et PME recherche actuellement 300 000 euros via une campagne de crowdfunding sur Wiseed.
Rencontre avec le co-fondateur de France Barter, Samuel Cohen. @FranceBarter
Category
🤖
Technologie