La crise dans l'agriculture ne se "calmera pas" car il s'agit d'une "crise structurelle", a déclaré mercredi le président du parti Les Républicains Nicolas Sarkozy lors d'une visite dans l'Yonne appelant "le plus haut niveau de l'Etat" à se "saisir du dossier".
Alors qu'il est convoqué ce jeudi devant le bureau exécutif du Front National, réuni en formation disciplinaire, Jean-Marie Le Pen a montré hier qu'il était prêt, et ne se défilerait pas.
Dans un communiqué, publié sur son compte Twitter, le père de Marine Le Pen a tenu à signaler qu'il serait présent à la réunion du 20 août, «dans l'idée d'administrer une leçon, et non d'en recevoir une. Leçon de loyauté d'abord, leçon de politique ensuite».
Devant les caméras de télévision, le président russe a plongé à plus de 80 mètres de fond au large de la Crimée, péninsule ukrainienne annexée par Moscou. L'occasion pour l'homme fort du Kremlin d'évoquer la situation dans l'est de l'Ukraine.
Sans surprise, son déplacement en Crimée, le troisième après son annexion, a mis en colère Kiev qui a envoyé une note de protestation à la diplomatie russe. Le président pro-occidental Petro Porochenko a qualifié cette visite d'un "défi" lancé "au monde civilisé". Le Président Russe a répondu aux occidentaux et à Kiev : "L'avenir de la Crimée a été décidé par son peuple. Il a décidé de rejoindre la Russie, un point c'est tout !".
Enfin, une Espagnole s'est vue infliger une amende de 800 euros pour avoir diffusé sur le net la photo d'une voiture de police garée sur une place handicapée.
Alors qu'il est convoqué ce jeudi devant le bureau exécutif du Front National, réuni en formation disciplinaire, Jean-Marie Le Pen a montré hier qu'il était prêt, et ne se défilerait pas.
Dans un communiqué, publié sur son compte Twitter, le père de Marine Le Pen a tenu à signaler qu'il serait présent à la réunion du 20 août, «dans l'idée d'administrer une leçon, et non d'en recevoir une. Leçon de loyauté d'abord, leçon de politique ensuite».
Devant les caméras de télévision, le président russe a plongé à plus de 80 mètres de fond au large de la Crimée, péninsule ukrainienne annexée par Moscou. L'occasion pour l'homme fort du Kremlin d'évoquer la situation dans l'est de l'Ukraine.
Sans surprise, son déplacement en Crimée, le troisième après son annexion, a mis en colère Kiev qui a envoyé une note de protestation à la diplomatie russe. Le président pro-occidental Petro Porochenko a qualifié cette visite d'un "défi" lancé "au monde civilisé". Le Président Russe a répondu aux occidentaux et à Kiev : "L'avenir de la Crimée a été décidé par son peuple. Il a décidé de rejoindre la Russie, un point c'est tout !".
Enfin, une Espagnole s'est vue infliger une amende de 800 euros pour avoir diffusé sur le net la photo d'une voiture de police garée sur une place handicapée.
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