Emission E=M6 animée par Max LESGGY / Les moteurs Stirling.
* Avec la participation de Anton PHILIPS, arrière-petit-fils du fondateur de la Société PHILIPS.
En Hollande, les groupes électrogènes de Stirling permettent dès 1953 aux radios de fonctionner sans réseau électrique après une submersion en Hollande.
Philips, le géant de l'électronique les avait mis au point. Un étrange silence entoure ce moteur malgré ses avantages.
L'idée de ce moteur à air chaud remonte au brevet du Révérent écossais Robert Stirling en 1816, 50 ans avant les moteurs à essence ou Diesel.
Robert Stirling a choisi de séparer un côté chaud et un côté froid pour le piston muni d'un déplaceur, ainsi qu'un régénérateur qui recycle en interne la chaleur des gaz.
Cette machine génère peu de pollution, un bruit faible ; elle est économique et adaptable à tout type de carburant ou source chaude, comme le soleil.
En 1950, les transistors consomment beaucoup moins d'énergie et des piles électriques suffisent au fonctionnement des radios. Les stirling perdent ainsi de leur intérêt.
Néanmoins, le Stirling est une machine thermique versatile, pouvant aussi se comporter en réfrigérateur ou en pompe à chaleur.
Philips proposa à des constructeurs de bateaux et de voitures son moteur Stirling. General Motors et Ford mettent au point des prototypes, mais la variation de puissance du Stirling est délicate.
Philips réussit néanmoins une application commerciale dans la réfrigération pour ses machines de Stirling.
Des espoirs importants apparaissent actuellement pour les moteurs Stirling dans le domaine des centrales solaires à concentration.
Les constructeurs automobiles se désintéressent du moteur Stirling en préférant utiliser au maximum leurs investissements dans les moteurs à combustion interne "classiques". Il est très lent de changer les mentalités sur ce sujet.
Proposé par SYCOMOREEN : http://sycomoreen.free.fr
* Avec la participation de Anton PHILIPS, arrière-petit-fils du fondateur de la Société PHILIPS.
En Hollande, les groupes électrogènes de Stirling permettent dès 1953 aux radios de fonctionner sans réseau électrique après une submersion en Hollande.
Philips, le géant de l'électronique les avait mis au point. Un étrange silence entoure ce moteur malgré ses avantages.
L'idée de ce moteur à air chaud remonte au brevet du Révérent écossais Robert Stirling en 1816, 50 ans avant les moteurs à essence ou Diesel.
Robert Stirling a choisi de séparer un côté chaud et un côté froid pour le piston muni d'un déplaceur, ainsi qu'un régénérateur qui recycle en interne la chaleur des gaz.
Cette machine génère peu de pollution, un bruit faible ; elle est économique et adaptable à tout type de carburant ou source chaude, comme le soleil.
En 1950, les transistors consomment beaucoup moins d'énergie et des piles électriques suffisent au fonctionnement des radios. Les stirling perdent ainsi de leur intérêt.
Néanmoins, le Stirling est une machine thermique versatile, pouvant aussi se comporter en réfrigérateur ou en pompe à chaleur.
Philips proposa à des constructeurs de bateaux et de voitures son moteur Stirling. General Motors et Ford mettent au point des prototypes, mais la variation de puissance du Stirling est délicate.
Philips réussit néanmoins une application commerciale dans la réfrigération pour ses machines de Stirling.
Des espoirs importants apparaissent actuellement pour les moteurs Stirling dans le domaine des centrales solaires à concentration.
Les constructeurs automobiles se désintéressent du moteur Stirling en préférant utiliser au maximum leurs investissements dans les moteurs à combustion interne "classiques". Il est très lent de changer les mentalités sur ce sujet.
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