3ème étape, 12 juillet
Dommage de loger dans un si beau camping, de payer des prestations dont on ne peux pas profiter. Mais tout les matins c’est pareil : pas de temps pour la piscine, il faut manger, se laver, remballer, charger les vélos et la remorque !
Une journée qui va nous amener au bord de l’impossibilité de continuer : le genou gauche de Vincent le fait souffrir, il peut marcher mais ne peut plus le plier. Sur son vélo, il ne se sert alors que de la jambe droite. Pour plus d’efficacité, il demande à JC de lui attacher le pied droit à la pédale. Avec ce système, Vincent pédale moins vite mais avance quand même, à force de volonté et de combativité. Dans la journée, il s’achète une genouillère. Pendant que Vince avance à son rythme, JC fait un détour (voir parcours, Aschères-le-Marché) pour un ravitaillement nécessaire après trois jours d’expédition.
Arrivés à Orléans, Vince et JC tombent sur une boutique de cycles avec de jeunes vendeurs très compétents et ultra sympas. Ils réparent la roue arrière de JC (fond de jante usé qui laisse les rayons attaquer la chambre à air), qui repart avec une chambre à air neuve et un pneu dit increvable. Après quelques galères pour traverser la Loire, ils arrivent au camping d’Olivet vers 21h15 et plantent leur tente à côté d’un cycliste venant d’Allemagne (3500 km au compteur). En même temps, Vince et JC commencent à revoir leurs objectifs à la baisse : 180 km en trois jours, c’est bien loin de la moyenne journalière qu’ils imaginaient avant le départ. Mais l’expérience, ça sert à ça : savoir que 90 km par jour avec ce chargement, c’est impossible.
Une journée qui va nous amener au bord de l’impossibilité de continuer : le genou gauche de Vincent le fait souffrir, il peut marcher mais ne peut plus le plier. Sur son vélo, il ne se sert alors que de la jambe droite. Pour plus d’efficacité, il demande à JC de lui attacher le pied droit à la pédale. Avec ce système, Vincent pédale moins vite mais avance quand même, à force de volonté et de combativité. Dans la journée, il s’achète une genouillère. Pendant que Vince avance à son rythme, JC fait un détour (voir parcours, Aschères-le-Marché) pour un ravitaillement nécessaire après trois jours d’expédition.
Arrivés à Orléans, Vince et JC tombent sur une boutique de cycles avec de jeunes vendeurs très compétents et ultra sympas. Ils réparent la roue arrière de JC (fond de jante usé qui laisse les rayons attaquer la chambre à air), qui repart avec une chambre à air neuve et un pneu dit increvable. Après quelques galères pour traverser la Loire, ils arrivent au camping d’Olivet vers 21h15 et plantent leur tente à côté d’un cycliste venant d’Allemagne (3500 km au compteur). En même temps, Vince et JC commencent à revoir leurs objectifs à la baisse : 180 km en trois jours, c’est bien loin de la moyenne journalière qu’ils imaginaient avant le départ. Mais l’expérience, ça sert à ça : savoir que 90 km par jour avec ce chargement, c’est impossible.
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