Goradz Karoun (Le Printemps Perdu) - extraits du spectacle
par Mucem Officiel
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De Anaïs Alexandra Tekerian et Kevork Mourad
Mise en scène et dessin : Kevork Mourad
Interprétation : Anaïs Alexandra, Cirène Mourad
Musique : Kinan Azmeh, Zulal, Anna Garano
Danse : Jane Cracovaner
Cent ans après le Génocide arménien, une mère se voit obligée d’expliquer le passé troublé d’un peuple à sa fille. Mais comment trouver les mots pour raconter la cruauté à l’innocence même ? Et de quel droit transmet-on la colère à un enfant d’un nouveau siècle, d’un monde si différent ?
Goradz Karoun (Le Printemps perdu) interroge un dilemme : comment évoquer aujourd’hui la question du génocide, à l’heure où les descendants de cette histoire tragique (Turcs, comme Arméniens), sont voués à fraterniser au sein de sociétés multiculturelles ?
Mêlant théâtre, danse et musique, cette création pluridisciplinaire se voit aussi enrichie d’une performance live du peintre Kevork Mourad, traduisant, par un dessin réalisé en direct, l’interprétation poétique d’une femme en quête de l’histoire dont elle est l’héritière, en quête de sens, en quête d’un Printemps perdu.
Anaïs Alexandra Tekerian, auteur, comédienne et chanteuse
Née à San Francisco, d’origine arménienne et lettone, elle s’installe à New York après des études de théâtre à l’Université de Yale. Elle se lance dans le théâtre expérimental avec Kevork Mourad. Ensemble, ils conçoivent en 2010 Tangled Yarn, une création multimédia abordant la question des racines, de l’origine, et du multiculturalisme ; suivie en 2011 de Waterlogged.
Par ailleurs, Anaïs Alexandra Tekerian se consacre à la musique folklorique arménienne en duo avec la guitariste Anna Garano, ainsi qu’avec le trio a cappella arménien Zulal. Elle s’est produite, entre autres, au Getty Museum, au Millennium Stage du Kennedy Center, et au Symphony Space.
Kevork Mourad, artiste, plasticien
Né en 1970 en Syrie, d’origine arménienne, il vit et travaille à New York. Ses œuvres ont intégré les collections perman
Mise en scène et dessin : Kevork Mourad
Interprétation : Anaïs Alexandra, Cirène Mourad
Musique : Kinan Azmeh, Zulal, Anna Garano
Danse : Jane Cracovaner
Cent ans après le Génocide arménien, une mère se voit obligée d’expliquer le passé troublé d’un peuple à sa fille. Mais comment trouver les mots pour raconter la cruauté à l’innocence même ? Et de quel droit transmet-on la colère à un enfant d’un nouveau siècle, d’un monde si différent ?
Goradz Karoun (Le Printemps perdu) interroge un dilemme : comment évoquer aujourd’hui la question du génocide, à l’heure où les descendants de cette histoire tragique (Turcs, comme Arméniens), sont voués à fraterniser au sein de sociétés multiculturelles ?
Mêlant théâtre, danse et musique, cette création pluridisciplinaire se voit aussi enrichie d’une performance live du peintre Kevork Mourad, traduisant, par un dessin réalisé en direct, l’interprétation poétique d’une femme en quête de l’histoire dont elle est l’héritière, en quête de sens, en quête d’un Printemps perdu.
Anaïs Alexandra Tekerian, auteur, comédienne et chanteuse
Née à San Francisco, d’origine arménienne et lettone, elle s’installe à New York après des études de théâtre à l’Université de Yale. Elle se lance dans le théâtre expérimental avec Kevork Mourad. Ensemble, ils conçoivent en 2010 Tangled Yarn, une création multimédia abordant la question des racines, de l’origine, et du multiculturalisme ; suivie en 2011 de Waterlogged.
Par ailleurs, Anaïs Alexandra Tekerian se consacre à la musique folklorique arménienne en duo avec la guitariste Anna Garano, ainsi qu’avec le trio a cappella arménien Zulal. Elle s’est produite, entre autres, au Getty Museum, au Millennium Stage du Kennedy Center, et au Symphony Space.
Kevork Mourad, artiste, plasticien
Né en 1970 en Syrie, d’origine arménienne, il vit et travaille à New York. Ses œuvres ont intégré les collections perman