Gilles Pargneaux - Intervention en séance plénière sur les critères d'identification des perturbateurs endocriniens
- il y a 9 ans
La part des maladies attribuables aux perturbateurs endocriniens coûte chaque année à l'Union européenne plus de 157 milliards d'euros. Présents partout autour de nous, dans les pesticides, les cosmétiques, les emballages, les jouets pour enfants et même dans certains dispositifs médicaux, force est de constater qu'il n'existe pas de législation européenne spécifique en ce qui les concerne, malgré des demandes insistantes du Parlement européen et de certains Etats membres comme la France.
Selon un article du Guardian en date du 2 février 2015, 31 pesticides auraient du être interdits si un rapport sur les perturbateurs endocriniens n'avait pas été censuré par la Commission européenne, un rapport qui en soulignait la dangerosité.
D'où la question de Gilles Pargneaux, en séance plénière le lundi 9 mars 2015, sur l'existence de ce rapport.
Selon un article du Guardian en date du 2 février 2015, 31 pesticides auraient du être interdits si un rapport sur les perturbateurs endocriniens n'avait pas été censuré par la Commission européenne, un rapport qui en soulignait la dangerosité.
D'où la question de Gilles Pargneaux, en séance plénière le lundi 9 mars 2015, sur l'existence de ce rapport.