Sur le sujet de « l’Agilité et Performance », la Direction de TURBOMECA avance malgré la mise en garde des Organisations Syndicales sur les méthodes employées.
Pour la Direction, l’amélioration de la performance passe par plus d’agilité, mais elle ne veut pas donner sa définition.
Au contraire, la Direction laisse entendre qu’il y aura un impact sur l’aménagement du temps de travail.
Pour faire avaliser ses futures propositions, la Direction met en place des « groupes de
concertation » pilotés par un cabinet extérieur et sous contrôle d’un RH OP pour faire définir l’agilité par des salariés choisis.
Pour les Organisations syndicales, cette méthode est une prise d’otage des salariés, qui ne s’inscrit pas dans le cadre légal du dialogue social..
En préalable à toutes discussions, les organisations syndicales ont demandé un état des lieux du temps de travail à TURBOMECA.
Sur la politique industrielle, la stratégie de la Direction est plus qu’alarmante avec ses nouveaux partenariats qui nous mettent en danger en externalisant des pans entier de nos activités :
- les circuits carburants complets
– les transmissions de puissance des moteurs à fortes puissance.
– Les pales de turbines du RTM 322
– L’activité carter chez Hispano Suiza
– Et demain à qui le tour… ?
Ces projets d’externalisations vont toucher tous les domaines, conception, fabrication, montage,
maintenance, mais aussi les fonctions support… et ce dans les trois sites de TURBOMECA.
On ne peut rester passif, nous nous devons de réagir.
Pour la Direction, l’amélioration de la performance passe par plus d’agilité, mais elle ne veut pas donner sa définition.
Au contraire, la Direction laisse entendre qu’il y aura un impact sur l’aménagement du temps de travail.
Pour faire avaliser ses futures propositions, la Direction met en place des « groupes de
concertation » pilotés par un cabinet extérieur et sous contrôle d’un RH OP pour faire définir l’agilité par des salariés choisis.
Pour les Organisations syndicales, cette méthode est une prise d’otage des salariés, qui ne s’inscrit pas dans le cadre légal du dialogue social..
En préalable à toutes discussions, les organisations syndicales ont demandé un état des lieux du temps de travail à TURBOMECA.
Sur la politique industrielle, la stratégie de la Direction est plus qu’alarmante avec ses nouveaux partenariats qui nous mettent en danger en externalisant des pans entier de nos activités :
- les circuits carburants complets
– les transmissions de puissance des moteurs à fortes puissance.
– Les pales de turbines du RTM 322
– L’activité carter chez Hispano Suiza
– Et demain à qui le tour… ?
Ces projets d’externalisations vont toucher tous les domaines, conception, fabrication, montage,
maintenance, mais aussi les fonctions support… et ce dans les trois sites de TURBOMECA.
On ne peut rester passif, nous nous devons de réagir.
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