La bêtifiante Sexion d'Assaut pour la mascarade du Sidaction (par Iconoclaste)

  • il y a 10 ans
"On est homophobe à 300% et on l'assume." disaient les baladins de la Sexion de Wati Bêtassots lors d'une interview pour un magazine "Hip-Hop" sortant en kiosque mais voilà qu'ensuite, lorsque les homophiles médias leur en ont fait grief, ces faux moralistes se sont pleutrement dédit allant jusqu'à affirmer ridiculement qu'ils ont dû regarder dans le dictionnaire la définition du terme "homophobe" pour se rendre compte de leur prétendue "connerie" et à s'afficher ensuite ignominieusement aux côtés de représentants d'associations de défense des homos pour bien montrer qu'ils n'étaient surtout pas homophobes.

Ces faits prouvent que les membres de la Sexion d'Assaut sont des lâches incapables de tenir une quelconque position morale et prêts à tout pour rester médiatisés. S'ils tiennent tant à conserver coûte que coûte cette promotion médiatique c'est qu'elle est condition sine qua non au succès commercial qui leur est si cher et surtout à la notoriété dont ils sont si immoralement avides. La perdre rimerait avec retombée dans l’indifférence du grand public ce qui leur serait cauchemardesque à ces impurs aux immondes idéaux qui chantent fièrement des hymnes à l'immoralisme comme "À bout d'souffle" ou plus récemment "Prie pour moi".

Sexion d'Assaut est donc devenu le groupe de "rap" pro-Gays par "excellence" et le remontre une énième fois en participant bassement à l'immonde titre "Kiss & Love", inaudible insulte à la musique pour la propagande du Sidaction 2014 et à son clip au sein duquel figurent des homosexuels s'embrassant impudiquement et bien évidemment de nombreuses célébrités inverties également.

En collaborant allègrement avec ces sodomites du satanique show bizness dans leur mesquine prétention de démocratiser un rap qui est en réalité déjà (et préjudiciablement) démocratisé depuis des décennies, les bêtifiants rappeurs de la Sexion de Wati Bêtasses s'enferrent encore davantage dans le ridicule qui les rendait déjà si pathétique.

Parmis leurs turpides collaboratrices sur ce titre nous retrouvons l'hideuse Shy'm que Black M(esquin) disait exécrer dans le titre "Les chroniques du mystère" toujours dans cette même simulation d'intégrisme moral qui leur est si étranger afin de faireun démenti de leur immoralité.

Fléau idolâtré, l'odieux Gims s'y illustre une nouvelle foi en apologiste de la dinguerie qu'il fait passer pour du génie artistique en pendant noir de Fred Setbon.

Voici, via cette vidéo, quelques extraits commentés au sujet de cette nouvelle transpiration de bouffonnerie des Wati Branleurs qui sont aimés de tant de gens pour leur médiocrité compte tenu du conventionnel inversionisme...