Un temps de jazzmen estival

  • il y a 17 ans
Bon d'accord, il manque la trompette de Miles Davis ou une voix rauque de jazzmen noctambule, de diva drôle comme Dee Dee Bridgewater mais siffler "Summertime" sur les drôles de sols lyonnais, du côté de Garibaldi, c'est une belle envolée poétique dans le quotidien, une quête impossible de la note bleue. En plus, s'il y a un petit invité qui fait le troisième pied s'imposant à l'image, c'est encore mieux. Moment suspendu pour un week-end toucouleur.