Le mariage

  • il y a 17 ans
Le corps de l’amour a deux grands bras solides,
Des mains qui tiennent bon malgré les forces opposées,
Quel quelles soient, parce que l’amour a cette peur du vide,
L’ardeur entraînant ces deux êtres à s’épouser.
Il me semble qu’il puisse réunir le monde
A chacun de ses lieux, tous ces coins éloignés.
Nous prenant tous comme des terre qu’il inonde,
Des champs de marais, sous des bancs de marées.
De la Martinique au Liban, la ligne se tend
Et par tous les temps, le ton d’hiver est d’été
On sent l’exotisme dans la terre et le vent,
Il se veut créoles autant que le dix-sept février.

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