Le 8 novembre, des vents de 300 km et des vagues géantes se sont abattus sur le centre de l'archipel.
Le typhon Haiyan, localement baptisé Yolanda, a fait plusieurs milliers de victimes.
Quand les équipes MSF arrivent aux Philippines, elles constatent un niveau de destruction rarement vu.
Pendant plusieurs jours, l'accès aux zones les plus touchées est extrêmement difficile. En cause, les conditions météo, les dégâts subis par les aéroports, et l'afflux d'aide internationale.
Les équipes réussissent aujourd'hui à intervenir dans les îles les plus touchées, comme Leyte, Panay et Samar.
Près de trois semaines après le passage du typhon, plus de 200 Médecins Sans Frontières, épaulés par plusieurs centaines de collègues philippins, travaillaient sur place.
Grâces aux dispensaires mobiles, les équipes peuvent atteindre les populations les plus isolées. Des activités d'assainissement, et des distributions de biens de première nécessité, notamment des kits d'hygiène, permettent quand à elles de limiter la propagation de maladies et d'aider les familles qui ont tout perdu lors du cyclone.
MSF gère également cinq hôpitaux, le temps que les structures de santé endommagées par le typhon soient remises en état. A Tanauan, deux tentes gonflables accueillent un service de pédiatrie et une maternité.
A Tacloban également, les équipes ont installé une structure sous tente, et remis en état les blocs opératoires de l'hôpital Bethany. Plus de 30 patients sont reçus chaque jour dans la salle d'urgence. Les cas les plus fréquents sont les plaies infectées, les personnes souffrant de maladie chronique, en rupture de traitement, et les infections des voies respiratoires. MSF s'inquiète aussi d'une possible augmentation des cas de tétanos.
Les femmes enceintes sont elles aussi prises en charge... Rommy, le premier bébé né dans l'hôpital de Tacloban, est né le 26 novembre, au beau milieu de la nuit.
Le typhon Haiyan, localement baptisé Yolanda, a fait plusieurs milliers de victimes.
Quand les équipes MSF arrivent aux Philippines, elles constatent un niveau de destruction rarement vu.
Pendant plusieurs jours, l'accès aux zones les plus touchées est extrêmement difficile. En cause, les conditions météo, les dégâts subis par les aéroports, et l'afflux d'aide internationale.
Les équipes réussissent aujourd'hui à intervenir dans les îles les plus touchées, comme Leyte, Panay et Samar.
Près de trois semaines après le passage du typhon, plus de 200 Médecins Sans Frontières, épaulés par plusieurs centaines de collègues philippins, travaillaient sur place.
Grâces aux dispensaires mobiles, les équipes peuvent atteindre les populations les plus isolées. Des activités d'assainissement, et des distributions de biens de première nécessité, notamment des kits d'hygiène, permettent quand à elles de limiter la propagation de maladies et d'aider les familles qui ont tout perdu lors du cyclone.
MSF gère également cinq hôpitaux, le temps que les structures de santé endommagées par le typhon soient remises en état. A Tanauan, deux tentes gonflables accueillent un service de pédiatrie et une maternité.
A Tacloban également, les équipes ont installé une structure sous tente, et remis en état les blocs opératoires de l'hôpital Bethany. Plus de 30 patients sont reçus chaque jour dans la salle d'urgence. Les cas les plus fréquents sont les plaies infectées, les personnes souffrant de maladie chronique, en rupture de traitement, et les infections des voies respiratoires. MSF s'inquiète aussi d'une possible augmentation des cas de tétanos.
Les femmes enceintes sont elles aussi prises en charge... Rommy, le premier bébé né dans l'hôpital de Tacloban, est né le 26 novembre, au beau milieu de la nuit.
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