Le Théâtre Nouvelle Génération/CDN de Lyon, présente la 8ème édition du Festival Ré-génération, du 11 au 17 janvier 2014. Théâtre, danse, marionnettes, objets, théâtre d’image ou musical se croisent pour découvrir de jeunes troupes françaises, italiennes, espagnoles, allemandes et québécoises.
Animant le hall du théâtre avec « Et que vive la Reine… », la Compagnie des Gentils entraine le public dans un tourbillon musical pour un cabaret « improvisé » ; les deux comédiens de la Compagnie allemande Florschütz & Döhnert invitent dans « Ssst !» à partir pour un voyage d’image en image avec un lapin blanc, de la musique et une brassée d’humour ; Titus, 7 ans, observe le monde des Grands, et voudrait qu’on lui accorde le temps d’inventer sa vie dans cette adaptation du texte de Claudine Galea « Après Grand c’est comment ? » par le Collectif 7 ; pour sa nouvelle création « Ode à la vie », la Compagnie italienne Rodiso convoque un couple très vieux, petits et voutés, qui revivent, sans mots, la beauté et la grâce que fui leur vie ; La Compagnie Les Yeux Grand Ouverts donne vie au personnage mythique de « Don Quichotte » avec l’adaptation théâtrale par Sylvain Levey du roman de Cervantès, véritable machine à rêver ; à son habitude, Le BlÖffique théâtre invite à une entreprise de détournement du réel et de perte joyeuse des repères pour sa nouvelle création urbaine « République la Libre (en partie brisée) » ; « Consonant » du Maduixa Teatre espagnol mêle danse, théâtre, ombres, arts plastiques et nouvelles technologies pour nous transporter dans un monde de poésie visuelle qui se nourrit de l’imagination de deux enfants ; « Vertiges » de la Compagnie Combats Absurdes questionne sur deux textes poétiques courts de Jon Fosse, issus de son œuvre pour le jeune public : Kant, et Si lentement ; avec « La Belle et la Bête » (La Bella et la Bestia), les deux comédiens danseurs de la Compagnie italienne Il Baule Volante mêlent le mouvement à la parole pour revisiter le destin tragique de la Belle face à la Bête; la comédienne-manipulatrice du Théâtre des petites Ames donne vie à une « Pomme » qui aimerait bien devenir un homme dans un Road movie à croquer en famille ; avec « Replay » les deux percussionnistes et la danseuse de la Compagnie Rythm’A Corps accumulent les situations burlesques, animés par une grande télécommande qui déclenche des effets d’accélération ou de répétition.
+ d’infos sur www.tng-lyon.fr/festival
Animant le hall du théâtre avec « Et que vive la Reine… », la Compagnie des Gentils entraine le public dans un tourbillon musical pour un cabaret « improvisé » ; les deux comédiens de la Compagnie allemande Florschütz & Döhnert invitent dans « Ssst !» à partir pour un voyage d’image en image avec un lapin blanc, de la musique et une brassée d’humour ; Titus, 7 ans, observe le monde des Grands, et voudrait qu’on lui accorde le temps d’inventer sa vie dans cette adaptation du texte de Claudine Galea « Après Grand c’est comment ? » par le Collectif 7 ; pour sa nouvelle création « Ode à la vie », la Compagnie italienne Rodiso convoque un couple très vieux, petits et voutés, qui revivent, sans mots, la beauté et la grâce que fui leur vie ; La Compagnie Les Yeux Grand Ouverts donne vie au personnage mythique de « Don Quichotte » avec l’adaptation théâtrale par Sylvain Levey du roman de Cervantès, véritable machine à rêver ; à son habitude, Le BlÖffique théâtre invite à une entreprise de détournement du réel et de perte joyeuse des repères pour sa nouvelle création urbaine « République la Libre (en partie brisée) » ; « Consonant » du Maduixa Teatre espagnol mêle danse, théâtre, ombres, arts plastiques et nouvelles technologies pour nous transporter dans un monde de poésie visuelle qui se nourrit de l’imagination de deux enfants ; « Vertiges » de la Compagnie Combats Absurdes questionne sur deux textes poétiques courts de Jon Fosse, issus de son œuvre pour le jeune public : Kant, et Si lentement ; avec « La Belle et la Bête » (La Bella et la Bestia), les deux comédiens danseurs de la Compagnie italienne Il Baule Volante mêlent le mouvement à la parole pour revisiter le destin tragique de la Belle face à la Bête; la comédienne-manipulatrice du Théâtre des petites Ames donne vie à une « Pomme » qui aimerait bien devenir un homme dans un Road movie à croquer en famille ; avec « Replay » les deux percussionnistes et la danseuse de la Compagnie Rythm’A Corps accumulent les situations burlesques, animés par une grande télécommande qui déclenche des effets d’accélération ou de répétition.
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