Patriotisme allemand à la sauce Merkel
Alors que toute la presse classique s'empressait en septembre dernier d'évoquer le fameux collier d'Angela Merkel aux couleurs de l'Allemagne (http://www.lefigaro.fr/international/2013/09/03/01003-20130903ARTFIG00233-le-collier-de-merkel-fait-glousser-l-allemagne.php), silence radio depuis quelques jours sur le drapeau allemand repoussé par la chancelière nouvellement réélue !
seuls les sites, dits spécialisés, du web commentent ce geste antipatriotique très révélateur, si besoin il était, de l'hypocrisie des politiques qui avant les élections arborent les couleurs nationales puis crachent dessus, une fois élus. Ceci démontre aussi le rejet de la nation charnelle, normal pour des européistes mondialistes, au profit d'un nouvel ordre mondial leur servant richesses et pouvoir en récompense de leurs trahisons.
Le peuple, lui, n'est pas dupe et il faut espérer que le retour de bâton sera rude.
Dans le film "Le président" d'Henri Verneuil (1961), Émile Beaufort (Jean Gabin), président du conseil, a une tirade devenue classique tant elle fut visionnaire.
En attendant, le titre de Julie Saget (1976) lui va comme un gant...
Musique : Les saintes chéries (1965)
seuls les sites, dits spécialisés, du web commentent ce geste antipatriotique très révélateur, si besoin il était, de l'hypocrisie des politiques qui avant les élections arborent les couleurs nationales puis crachent dessus, une fois élus. Ceci démontre aussi le rejet de la nation charnelle, normal pour des européistes mondialistes, au profit d'un nouvel ordre mondial leur servant richesses et pouvoir en récompense de leurs trahisons.
Le peuple, lui, n'est pas dupe et il faut espérer que le retour de bâton sera rude.
Dans le film "Le président" d'Henri Verneuil (1961), Émile Beaufort (Jean Gabin), président du conseil, a une tirade devenue classique tant elle fut visionnaire.
En attendant, le titre de Julie Saget (1976) lui va comme un gant...
Musique : Les saintes chéries (1965)
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