Le J'Go à Marciac : Jazz mondial, terroir local, plaisir total !
- il y a 11 ans
Jazz mondial, terroir local, plaisir total
Le Gascon n’est ni un sédentaire ni un nomade : c’est un transhumant. Rien ne lui est plus doux que de retrouver sa terre entre deux bravades, surtout si son retour est aussi triomphal que celui de D’Artagnan à Vic-Fezensac en avril 1660, flanqué de trois mousquetaires, de l’infante d’Espagne et du roi Soleil.
C’est un retour plus modeste, mais pas moins savoureux, qu’opère le J’Go à Marciac en cet été 2013. Comme l’an passé, l’ambassade gustative de la Gascogne à Toulouse et Paris se coule dans le moule jazzy marciacais, pour délivrer aux festivaliers sa cuisine enthousiaste, ses produits frais transformés sur place, ses vins fins ou virils et ses armagnacs délicats. Le tout avec une nouveauté cette année : l’avènement, dans la Grange d’Émile, du Marciac Café, déclinaison festive et festivalière du J’Go, où l’on boit et grignote assis ou debout, à l’ombre ou au soleil, et où l’on danse et bringue sur de la musique souvent live jusqu’à 3 heures du matin.
Face à la grange, le bien nommé « Le restaurant est dans le jardin » offre une vue imprenable sur l’un des clochers de la ville et sur le must des produits des terroirs gascons, Porc Noir de Bigorre et Haricot Tarbais en tête.
Il y en aura en somme pour tous les goûts et à toutes les heures, ce qui est heureux pour quiconque souhaite ajouter au plaisir de l’écoute de l’élite mondiale des jazzmen, celui de la dégustation de la crème des produits du Sud-Ouest.
Le Gascon n’est ni un sédentaire ni un nomade : c’est un transhumant. Rien ne lui est plus doux que de retrouver sa terre entre deux bravades, surtout si son retour est aussi triomphal que celui de D’Artagnan à Vic-Fezensac en avril 1660, flanqué de trois mousquetaires, de l’infante d’Espagne et du roi Soleil.
C’est un retour plus modeste, mais pas moins savoureux, qu’opère le J’Go à Marciac en cet été 2013. Comme l’an passé, l’ambassade gustative de la Gascogne à Toulouse et Paris se coule dans le moule jazzy marciacais, pour délivrer aux festivaliers sa cuisine enthousiaste, ses produits frais transformés sur place, ses vins fins ou virils et ses armagnacs délicats. Le tout avec une nouveauté cette année : l’avènement, dans la Grange d’Émile, du Marciac Café, déclinaison festive et festivalière du J’Go, où l’on boit et grignote assis ou debout, à l’ombre ou au soleil, et où l’on danse et bringue sur de la musique souvent live jusqu’à 3 heures du matin.
Face à la grange, le bien nommé « Le restaurant est dans le jardin » offre une vue imprenable sur l’un des clochers de la ville et sur le must des produits des terroirs gascons, Porc Noir de Bigorre et Haricot Tarbais en tête.
Il y en aura en somme pour tous les goûts et à toutes les heures, ce qui est heureux pour quiconque souhaite ajouter au plaisir de l’écoute de l’élite mondiale des jazzmen, celui de la dégustation de la crème des produits du Sud-Ouest.