Éco. altern. et approche éco. féministe DISUSSION 3
- il y a 11 ans
au café associatif Le Tabou, 45 rue de la Coutellerie, Marseille, mardi 23 avril 2013
Perspectives Plurielles invite, en collaboration avec le CIDFF Phocéen et Ancrages,
Christine Bauhardt, docteure en sciences politiques,
actuellement professeure en poste à l'Université Humboldt à Berlin.
Champs de recherche : environnement, espace et genre.
Économies alternatives et approche économique féministe.
Depuis la crise économique récente, le développement durable est le mot d’ordre même pour les économistes traditionnels. Le point de départ du développement durable est le constat que les ressources naturelles ne sont pas infinies et qu’il faut mettre fin à leur exploitation débridée. En 2012, les Nations Unies ont ravivé le concept du développement durable introduit vingt ans plus tôt dans la gouvernance globale, dorénavant dans l’optique bel et bien nommée « croissance verte ».
En dehors de cette approche, d’autres courants de pensée, notamment la décroissance et l’économie solidaire, partant du même constat – les limites des ressources naturelles – envisagent un changement profond de l’économie de croissance qui est la base du capitalisme.
Christine Bauhardt va proposer une lecture critique de ces approches à travers la critique féministe de l’économie.
L’hypothèse de travail est la suivante :
les trois approches – la croissance verte, la décroissance, l’économie solidaire – peuvent s’unir à une approche féministe, selon ce qui est considéré comme crise économique, comme but et comme moyen du changement.
Mise en ligne : Documentaire déployer, Paris.
Perspectives Plurielles invite, en collaboration avec le CIDFF Phocéen et Ancrages,
Christine Bauhardt, docteure en sciences politiques,
actuellement professeure en poste à l'Université Humboldt à Berlin.
Champs de recherche : environnement, espace et genre.
Économies alternatives et approche économique féministe.
Depuis la crise économique récente, le développement durable est le mot d’ordre même pour les économistes traditionnels. Le point de départ du développement durable est le constat que les ressources naturelles ne sont pas infinies et qu’il faut mettre fin à leur exploitation débridée. En 2012, les Nations Unies ont ravivé le concept du développement durable introduit vingt ans plus tôt dans la gouvernance globale, dorénavant dans l’optique bel et bien nommée « croissance verte ».
En dehors de cette approche, d’autres courants de pensée, notamment la décroissance et l’économie solidaire, partant du même constat – les limites des ressources naturelles – envisagent un changement profond de l’économie de croissance qui est la base du capitalisme.
Christine Bauhardt va proposer une lecture critique de ces approches à travers la critique féministe de l’économie.
L’hypothèse de travail est la suivante :
les trois approches – la croissance verte, la décroissance, l’économie solidaire – peuvent s’unir à une approche féministe, selon ce qui est considéré comme crise économique, comme but et comme moyen du changement.
Mise en ligne : Documentaire déployer, Paris.