LE TIGRE.Bande-Annonce
Le 30 et 31 mai 2013à 20h00, à Nice, le Théâtre du Bocal accueille LE TIGRE, de Murray SCHISGAL, adapté par Laurent TERZIEFF.
Un moyen pour la jeune compagnie de Théâtre LE BATELEUR de présenter leur premier spectacle admirablement guidé par Emmanuelle LORRE, metteur en scène et comédienne professionnelle. Les deux comédiens, Doriane PASQUALE et Mathieu DI GIORGIO, incarnent deux personnages : le tigre et sa proie.
Une pièce qui a plus 40 ans, mais qui est clairement actuelle !
Lui, c'est un autodidacte, rejeté par une société qu'il exècre. Nourri de livres qui ont renforcé sa haine, il entend en faire payer le prix à sa proie arrachée au hasard d'une rue.
Elle, bourgeoise, en tailleur, corsage, et petit bas. Mariée à un cadre dynamique, deux enfants, sa vie se résume au club de bridge et ses bonnes œuvres. Tous deux sont mal dans leur peau.
Peu à peu, ils vont mutuellement se révéler. C'est par les mots que tout bascule, ceux de l'homme qui interdisent, rejettent, décontenancent et qui se heurtent, et ceux de la femme qui très vite terminent les phrases, puis qui jouent et répondent.
Un spectacle choc et déconcertant où l'on passe de la pure violence à la tendresse, de la lutte féroce à une étrange et solide complicité et qui contraste avec l'euphorie amoureuse du dénouement. Un spectacle redoutable qui ne ménage pas ses spectateurs.
Un moyen pour la jeune compagnie de Théâtre LE BATELEUR de présenter leur premier spectacle admirablement guidé par Emmanuelle LORRE, metteur en scène et comédienne professionnelle. Les deux comédiens, Doriane PASQUALE et Mathieu DI GIORGIO, incarnent deux personnages : le tigre et sa proie.
Une pièce qui a plus 40 ans, mais qui est clairement actuelle !
Lui, c'est un autodidacte, rejeté par une société qu'il exècre. Nourri de livres qui ont renforcé sa haine, il entend en faire payer le prix à sa proie arrachée au hasard d'une rue.
Elle, bourgeoise, en tailleur, corsage, et petit bas. Mariée à un cadre dynamique, deux enfants, sa vie se résume au club de bridge et ses bonnes œuvres. Tous deux sont mal dans leur peau.
Peu à peu, ils vont mutuellement se révéler. C'est par les mots que tout bascule, ceux de l'homme qui interdisent, rejettent, décontenancent et qui se heurtent, et ceux de la femme qui très vite terminent les phrases, puis qui jouent et répondent.
Un spectacle choc et déconcertant où l'on passe de la pure violence à la tendresse, de la lutte féroce à une étrange et solide complicité et qui contraste avec l'euphorie amoureuse du dénouement. Un spectacle redoutable qui ne ménage pas ses spectateurs.
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